Peugeot connaît une forte croissance internationale sur le troisième trimestre 2016
Les ventes mondiales du Groupe PSA on connu une très forte augmentation de 10,6 % sur le troisième trimestre de 2016. Son chiffre d’affaires s’est élevé à 11,4 milliards d’euros (- 8 %) entre le mois de juillet et de septembre.
Les nouveaux modèles du constructeur automobile Peugeot-Citroën semblent avoir le vent en poupe comme le démontrent les derniers chiffres publiés par la société. Un bond du chiffre d’affaires de 10,6% a été relevé sur le troisième trimestre 2016 par rapport à l’année précédente pour un total de 11,4 milliards d’euros.
La division automobile a participé à hauteur de 7,54 milliards d’euros du CA total du groupe, en baisse de 6,3%. PSa indique dans son communiqué de presse que « les effets négatifs de change (-4,7 %) ont été partiellement compensés par l’impact prix positif (+ 1,8 %), reflet de la politique d’amélioration du positionnement prix des trois marques Peugeot, Citroën et DS ».
A la veille de lancements de produits majeurs au quatrième trimestre, qui ne sont toujours pas décomptés en terme d’immatriculations, les volumes de ventes du groupe ont fortement baissé en Europe (- 4,3 %), mais surtout dans l’Empire du Milieu, avec une chute de 16,5 % sur ce troisième trimestre. En Amérique Latine, ils ont toutefois bondi de 22,6 %. En Afrique Moyen-Orient, la hausse des volumes a été portée par les ventes de véhicules produits en Iran sous licence Peugeot. A fin septembre 2016, les stocks s’élevaient à 400 000 véhicules (382 000 l’année précédente).
« Les leviers du plan Back in the race, en particulier le pricing power et la réduction de coûts, nous permettent d’être confiants dans l’atteinte des objectifs du plan Push to pass, malgré un contexte externe plus difficile, notamment sur les changes », a indiqué Jean-Baptiste de Chatillon, directeur financier du Groupe PSA et membre du directoire. Sur l’ensemble de l’année 2016, PSA table sur une croissance du marché automobile de 6 % sur le Vieux continent et de 15 % en Chine, et à un recul de l’ordre de 6 % en Amérique latine et de 15 % en Russie.